Le match
Présentant un effectif solide de 10 joueurs entre 13 et 28 min/match, c’est un groupe en pleine confiance qui débarque au Forézium.
Profitant d’un calendrier relativement favorable, les Caennais restent en effet sur 6 victoires consécutives, n’ayant chuté qu’à Mulhouse et Rouen et, plus surprenant, à domicile contre Le Havre.
Avec une bien meilleure adresse à 3 pts et aux lancers-francs que les Foréziens, c’est la meilleure attaque de la poule, où le danger peut venir de partout (7 joueurs différents ont fini meilleur marqueur Caennais sur un match) et se partageant bien le ballon (1ère équipe aux passes décisives).
On espère donc tous une victoire bonus pour les Verts et Blancs.
L’adversaire
Pour le CBC, l’ambition reste un parcours aussi réussi que l’an passé (demi-finaliste et éliminé de deux points par La Rochelle lors du match 3), voire mieux.
Suite à la fin de contrat du coach Fabrice Courcier après 3 ans et demi, un nouvel entraîneur est arrivé. Stéphane Eberlin, après de nombreuses années à Souffelweyersheim, a dû rebâtir une partie de l’effectif tout en misant sur la stabilité et la conservation d’un noyau dur (Diame, Ona Embo, Pope et Thibedore). Ce sont donc plusieurs noms connus de la division qui ontdébarqué en Normandie: les américains Watt (ex-Saint-Vallier),
toujours dominateur à ce niveau et Awich (ex-Andrézieux et Montbrison), Bernaoui (ex-Chartres), Njiba (ex-Andrézieux) et Blanc (ex-Kaysersberg).
Enfin, l’effectif a reçu le renfort de Smock, en provenance de la meilleure équipe de l’an passé, Angers, et du jeune Veraghe, qui évoluait avec les espoirs du Mans.Beaucoup de changements dans l’équipe alsacienne par rapport à l’année passée, conclue avec 15 v et 19 d et un maintien décroché grâce à une poule basse maîtrisée (6 v et 2 d).